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....ou quand l'amour en cage et la monnaie du pape (à laquelle on donnerait pourtant le Bon Dieu sans confession) se dévergondent .
et jouent à Halloween ...!
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Par ces temps de brume et de pluie, les physalis sont les lumières du jardin, les touches de bonne humeur contre la morosité de cet octobre un peu gris.
En bref, ce sont de véritables amours qui ouvrent peu à peu leur cage sous les attaques de la pluie...
et se transforment en véritables lanternes japonaises!
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L'article d'aujourd'hui pourrait s'appeler: "une séance de photo sportive".
23 octobre...c'est le matin...
Un remue-ménage dans le bouleau m'avertit de leur présence. Ils sont trois, quatre peut-être...Ce sont les lutins des oiseaux, les elfes du bouleau, de petits trapèzistes toujours en mouvement auprès desquels même le remuant troglodyte fait figure de petit père tranquille!
Il mérite bien son nom, le pouillot véloce ! Ce petit oiseau semble monté sur pile électrique !
La lumière ouatée et humide de ces matins d'automne, (ou plutôt le manque de lumière), le plumetis des feuilles de bouleau qui rend toute mise au point difficile, et ce feu-follet qui semble dire au passage : " que veux-tu, je suis le véloce, je suis pressé, je n'y peux rien, c'est mon nom et ma nature", tous les ingrédients sont réunis pour des photos ratées...
Je capte un ventre ici, un bout de queue là, flous de préférence, parfois une simple "ambiance automnale dans le bouleau"..., mais un pouillot entier, visible, net...il ne faut pas y songer !
Je persiste pourtant ! La séance dure une bonne demi-heure, et je réussis tout de même à faire un portrait un peu plus acceptable du feu-follet !
Comme tous les pouillots, ce petit oiseau a le sourcil élégant ; le plumage est légèrement plus foncé et moins net, les pattes plus sombres que son cousin le pouillot fitis qui lui ressemble beaucoup.
Migrateur partiel, il devient de plus en plus sédentaire dans nos régions, et semble aujourd'hui bien disposé à débarrasser les bouleaux des insectes et de leurs larves ...C'est aussi un grand consommateur de pucerons ! Son chant métallique et répétitif l'a fait surnommer "le compte-écus" !! D'ailleurs, je l'entends dans les bouleaux et son "chant" me confirme que c'est bien un véloce : le fitis, lui, ne compte pas ses sous!
Ca y est ! Le bouleau est nettoyé, la petite troupe s'est éloignée sous le regard hautain de Merlin qui semble penser : "beaucoup d'agitation pour pas grand chose !"
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.Pourquoi n'avais-je pas pensé plus tôt aux asters pour colorer l'automne?
Plantés l'an dernier, ils sont parfaits pour prendre le relai des plantes d'été!
La sécheresse les a roussis jusqu'à mi-tige, mais, pas rancuniers, ils s'épanouissent sous la pluie retrouvée!
Asters sur fond de dahlias
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Les dahlias ne se plaignent jamais et fleurissent jusqu'aux gelées. Mais là, la sécheresse de septembre leur a fait tirer la langue !
Heureusement, grâce à la pluie qui tombe régulièrement depuis deux semaines, ils se sont refait une santé !
J'aime ces fleurs sans histoires, sans chichis, généreuses et jouflues...
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