• Tarte à la tomate noire

     

    On m'a dit qu'elles étaient parfaites en tarte, les petites tomates rondes et noires à fesses rouges du jardin.

    J'ai cru en avoir plus qu'assez pour une tarte ! Eh bien...non ! Et j'ai dû ajouter des tomates coupées qui laissent un peu plus de jus...Mais tant pis !

     

    Tarte à la tomate noire

     

    Sur la pâte : une couche de moutarde,

    par dessus, de fines lamelles de gruyère,

    puis, les tomates...

     

    Un peu de thym et de basilic (toujours du jardin...)

     

    Tarte à la tomate noire

     

    Et voilà...

     

    Tarte à la tomate noire

     

    Très bonne. Les tomates noires se tiennent très bien et laissent moins de jus que les tomates coupées ! On peut aussi la faire "façon tatin", tous les ingrédients à l'envers...

     

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  • C'est un essai ! J'ai trouvé cette idée sur internet...J'ai de la rhubarbe et...j'ai de l'Agastache qui s'est ressemée de l'année dernière. Certains n'aiment pas l'acidité de la rhubarbe. L'Agastache au subtil goût anisé l'adoucit en la parfumant.  J'en referai l'an prochain, cette confiture me plaît bien. Par contre, je crois que je doublerai (à peine peut-être) le nombre de feuilles d'Agastache.

     

    Confiture originale du jardin : rhubarbe et agastache

     

    Pour un kilo de rhubarbe épluchée, la recette préconise 10 feuilles d'Agastache : pour cet essai, j'ai scrupuleusement obéi, et je n'en ai fait qu'un kilo, attendant de goûter le résultat ! Cette plante dont les feuilles rappellent les feuilles d'ortie (non, elle ne pique pas !) remplace l'anis en cuisine, mais c'est aussi une plante utilisée en tisane pour les infections pulmonaires ou...pour aider la digestion. Elle fait de jolies fleurs bleues, ...pas encore !

    J'ai fait tremper la rhubarbe dans le sucre une nuit, comme d'habitude, avec les feuilles d'Agastache dans une mousseline. Une fois la confiture cuite, j'ai retiré la mousseline avec les feuilles avant de mettre en pots.

     

    Confiture originale du jardin : rhubarbe et agastache

     

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  • "Les recettes du jardin" ! C'est un peu la rubrique des petites expériences "culinaires" avec  les plantes sauvages !

     

    Les jeunes feuilles du plantain sont bonnes pour agrémenter les salades, mais on m'a dit que les boutons floraux ont, cuits, un petit goût de champignons !

    Il faut juste les choisir tout jeunes (sinon ils sont amères) , surtout sans que les petiotes fleurs à la base du bouton n’apparaissent.

    Du plantain, j'en laisse toujours pousser au jardin, pour avoir toujours sous la main des feuilles en cas de piqûres d'insectes ou d'orties. Bien froissées et frottées sur la piqûre, elles calment vraiment au bout de quelques instants. Et puis, j'aime le feu d'artifice des fleurs !

    Donc, faisons l'expérience des boutons-champignons dans une femmelette...

    le plantain du jardin n'était pas encore trop avancé, les bourgeons bien verts...mais la récolte me semblait bien pauvre pour une omelette ; quelques boutons du plantain des chemins est venu compléter la cueillette.

     

    Omelette au plantain !

     

    On voit nettement la différence : ceux pris hors du jardin sont plus foncés, plus avancés. j'ai eu un peu de mal à en trouver sans le début des inflorescences.

    Ceux-là, je les ai fait blanchir façon de parler, car l'ébullition n'a pas modifié leur couleur !

    Je les ai fait revenir un  peu avant de verser les œufs battus...agrémentés de persil et de ciboulette (toujours du jardin).

     

    Omelette au plantain !

    Omelette au plantain !

     

    L'omelette était bonne, il fallait se forcer un peu pour trouver le goût du plantain (un petit goût de champignons, c'est vrai (de fond d'artichaut dit le Baryton...)) tellement le goût du persil l'emportait ! Moralité : ne pas craindre de mettre une bonne poignée de plantaire, jeune, tout jeune, ou blanchi !

     

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  • Je ne suis pas une grande cuisinière. J'aime bien les choses simples, avec les fruits et légumes de saison.

    J'ai donc testé cette blanquette der saumon qui fait la ^part belle aux légumes d'hiver du potager, poireaux et carottes, sans oublier le thym et le laurier du jardin.

    Blanquette de saumon

     

    Pour 4 personnes :

     

    4 pavés de saumon

    60 g de beurre

    3 ou 4 carottes

    3 blancs de poireaux

    crème fraîche

    2 échalotes

    thym, laurier

    1 jus de citron

    persil (si l'on en a à cette saison (!)

    2 cuillères à soupe  (rases) de farine)

    2 cuillères à soupe de moutarde

    sel, poivre

     

    Eplucher et couper en fines rondelles les carottes, coupez les blancs de poireaux dans le sens de la longueur.

    Les faire cuire dans l'eau (pour le bouillon) (j'ai mis aussi le vert des poireaux, attaché, pour le goût du bouillon).

    Dans une cocotte, faire fondre la moitié du beurre, foire revenir les échalotes et ajouter les carottes cuites, les poireaux et les morceaux de saumon (crus).(le saumon coupé en morceaux n'a besoin que de peu de temps pour être cuit !)

     

    Dans une casserole, faire fondre le reste du beurre, ajouter la farine. Ajouter le bouillon, mélanger. Incorporer ensuite la crème et la moutarde. Mélanger. Ajouter sel et poivre selon votre goût. (et le persil).

    Ajouter cette sauce au saumon, carottes, poireaux. Ajouter le jus de citron.

     

    La blanquette est prête ! Vous pouvez servir avec du riz (ou des pommes de terre)

     

    Je ne suis pas une grande cuisinière mais...c'était bon !

     

     

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  • En mode confinement -15 : huile de bellis

    Dans ma pelouse...

     

    Bellis perennis ! Elle mérite bien son nom , la  pâquerette qui s'invite en ce moment sur votre pelouse, avec ses centaines de corolles candides, délicatement maquillées de rose au bout des doigts...

    Elle est belle et nous veut du bien : j'ai trouvé la recette du macérat de Bellis !

    Cette huile a un effet tenseur, raffermissant sur la peau, qu'elle régénère. Elle favorise aussi la circulation sanguine : on l'appelle la pâquerette "l'arnica du pauvre" !

    Alors...prêtes (et prêts !) pour une petite recette-beauté ?

    Prélever sur votre pelouse des têtes de pâquerettes, lorsque le temps est sec.

    Les placer dans un bocal.

    En mode confinement -15 : huile de bellis

    En mode confinement -15 : huile de bellis

    En mode confinement -15 : huile de bellis

    Couvrir les pâquerettes avec de l'huile d'olive.

    Fermer le bocal et faire tourner la préparation pour bien humecter les fleurs.

     

    Remplacer le couvercle par un morceau de tissu attaché avec un élastique (car il faut que la préparation respire)

    En mode confinement -15 : huile de bellis

     Laisser un mois au soleil ou dans un endroit chaud, puis filtrer en pressant bien les pâquerettes. Terminer par un filtrage plus fin avec un filtre à café. Cette huile se conserve un an...

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